Départementales : Jean-Claude Lacouture et Roseline Lucas dénonce une “incitation à la haine”
zinfos97412 mai 2021
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Jean-Claude Lacouture et Roseline Lucas sont candidats dans le canton 1 aux Départementales. Ils s’insurgent suite à la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo où un de leurs adversaires brûle leur bulletin. Voici leur communiqué :
INCITATION À LA HAINE, ATTEINTE À LA DÉMOCRATIE !
Nous sommes encore en pleine pandémie. A l’heure où nous, candidats aux élections départementales nous montrons notre sérieux, notre démarche de rassemblement, de réconciliation, d’union, par amour pour notre canton.
Nous voyons nos adversaires commettre des actes graves de destruction, de violence et d’irrespect. C’est de l’incitation à la haine.
En effet, la campagne officielle n’est pas commencée qu’ils nous montrent déjà leur vrai visage !
L’acte de brûler, que ce soit un bulletin de vote ou un drapeau, tout ce qui touche à la démocratie est un acte de destruction fort et violent.
Cet acte n’est pas commis par un militant isolé mais par le mandataire financier de Mathieu Hoarau aux élections municipales. Mathieu Hoarau auquel s’associe Eric Ferrere.
L’auteur de la vidéo, se vante en commentaire d’assumer ses choix et de faire durer le plaisir.
Mettre en scène un tel acte, l’immortaliser en vidéo devant les électeurs, craquer l’allumette et regarder se consumer nos visages c’est du vandalisme. C’est le symbole de notre candidature, c’est le symbole de la démocratie qu’il brule. Nous, nous sommes pour la démocratie, pas pour la « voyoucratie ».
C’est une incitation à la haine.
C’est un acte de provocation.
Nous y voyons la volonté affichée d’humilier, de bafouer la liberté d’expression.
Je prends cela comme une menace. Nous considérons qu’il y a danger. Quand on parle de violences faites aux femmes nous en avons là un exemple ! Il est important de dénoncer ces actes d’intimidation pour que les femmes, nos filles n’aient pas peur de se présenter à des élections.
Et ceux qui incitent à la violence, qui tirent les ficelles, vont venir devant les caméras la larme à l’oeil, dire que ce n’est pas eux c’est les autres !!!!!
Nous connaissons les méthodes de certains depuis 25 ans !
Il faut considérer cet acte dans toutes ses dimensions et pas uniquement dans sa dimension politique, pas comme un fait divers ! Nous nous faisons de la politique avec les jeunes, mais pas comme ça ! Il faut prendre toute la mesure de la gravité des faits. Cet acte de dégradation est pensé, réfléchi et motivé par un désir de nuire, une volonté explicite d’humilier, d’intimider.
Un écrivain à dit « quand on brule des livres on finit aussi par bruler des hommes ». Quand ils brulent notre bulletin de vote que vont-ils bruler après ?
Voilà ce qu’ils veulent pour le canton : bruler, détruire, provoquer, menacer ; dans la haine, dans la division, dans le chaos.
Cet acte n’est pas un dérapage politique. C’est un acte volontaire, cette vidéo circule depuis deux jours.
En politique, j’ai eu des adversaires je n’ai jamais eu d’ennemi. J’ai l’amour de ma ville, l’amour de mon canton, de La Réunion. Ma volonté est de rassembler, de mettre toutes mes forces et mon énergie à aider les autres, à travailler pour que chacun voit son quotidien s’améliorer.
Les électeurs ont besoin d’être représentés par des personnes qui sont respectueuses des autres, qui ont de l’expérience, de la proximité, qui savent les comprendre, les écouter, les aider, les accompagner. Notre canton mérite mieux que ce que nos adversaires nous montrent. La haine et la destruction n’ont jamais fait avancer.
Nous sommes encore en pleine pandémie. A l’heure où nous, candidats aux élections départementales nous montrons notre sérieux, notre démarche de rassemblement, de réconciliation, d’union, par amour pour notre canton.
Nous voyons nos adversaires commettre des actes graves de destruction, de violence et d’irrespect. C’est de l’incitation à la haine.
En effet, la campagne officielle n’est pas commencée qu’ils nous montrent déjà leur vrai visage !
L’acte de brûler, que ce soit un bulletin de vote ou un drapeau, tout ce qui touche à la démocratie est un acte de destruction fort et violent.
Cet acte n’est pas commis par un militant isolé mais par le mandataire financier de Mathieu Hoarau aux élections municipales. Mathieu Hoarau auquel s’associe Eric Ferrere.
L’auteur de la vidéo, se vante en commentaire d’assumer ses choix et de faire durer le plaisir.
Mettre en scène un tel acte, l’immortaliser en vidéo devant les électeurs, craquer l’allumette et regarder se consumer nos visages c’est du vandalisme. C’est le symbole de notre candidature, c’est le symbole de la démocratie qu’il brule. Nous, nous sommes pour la démocratie, pas pour la « voyoucratie ».
C’est une incitation à la haine.
C’est un acte de provocation.
Nous y voyons la volonté affichée d’humilier, de bafouer la liberté d’expression.
Je prends cela comme une menace. Nous considérons qu’il y a danger. Quand on parle de violences faites aux femmes nous en avons là un exemple ! Il est important de dénoncer ces actes d’intimidation pour que les femmes, nos filles n’aient pas peur de se présenter à des élections.
Et ceux qui incitent à la violence, qui tirent les ficelles, vont venir devant les caméras la larme à l’oeil, dire que ce n’est pas eux c’est les autres !!!!!
Nous connaissons les méthodes de certains depuis 25 ans !
Il faut considérer cet acte dans toutes ses dimensions et pas uniquement dans sa dimension politique, pas comme un fait divers ! Nous nous faisons de la politique avec les jeunes, mais pas comme ça ! Il faut prendre toute la mesure de la gravité des faits. Cet acte de dégradation est pensé, réfléchi et motivé par un désir de nuire, une volonté explicite d’humilier, d’intimider.
Un écrivain à dit « quand on brule des livres on finit aussi par bruler des hommes ». Quand ils brulent notre bulletin de vote que vont-ils bruler après ?
Voilà ce qu’ils veulent pour le canton : bruler, détruire, provoquer, menacer ; dans la haine, dans la division, dans le chaos.
Cet acte n’est pas un dérapage politique. C’est un acte volontaire, cette vidéo circule depuis deux jours.
En politique, j’ai eu des adversaires je n’ai jamais eu d’ennemi. J’ai l’amour de ma ville, l’amour de mon canton, de La Réunion. Ma volonté est de rassembler, de mettre toutes mes forces et mon énergie à aider les autres, à travailler pour que chacun voit son quotidien s’améliorer.
Les électeurs ont besoin d’être représentés par des personnes qui sont respectueuses des autres, qui ont de l’expérience, de la proximité, qui savent les comprendre, les écouter, les aider, les accompagner. Notre canton mérite mieux que ce que nos adversaires nous montrent. La haine et la destruction n’ont jamais fait avancer.
Roseline LUCAS
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