« Et si Martin n’était pas le coupable idéal ? »
Partager cet article
Martin Tranchot a eu l’occasion, mardi, de venir à la barre pour parler de lui, de son enfance. Les jurés ont probablement été émus de l’entendre raconter son statut d’enfant esclave « utilisé » pour casser des cailloux ou à couper la canne. Et plus souvent martyrisé que cajolé par sa brute de père. Un personnage touchant, rustre, mais pas méchant, qui s’est retrouvé à la croisée des chemins de deux femmes, ce qui n’en fait pas pour autant un assassin. C’est ce que vont tenter de démontrer ses deux avocats, Patrick Adélaïde et Lorenza Bourjac, en s’appuyant notamment sur l’absence de preuves. Rencontre avec Lorenza Bourjac. Source : https://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/justice/et-si-martin-n-etait-pas-le-coupable-ideal-591033.php
Partager cet article
Laisser un commentaire