Il m’aura fallu attendre tant d’années, et finalement de ne plus y être pour pouvoir dire sans langue de bois ce qui s’y passe.
C’est une forme de lâcheté, j’en conviens et j’espère que ces quelques mots sauront réconforter les collègues qui, réforme de la retraite se faisant, resteront coincés entre ces murs un peu plus longtemps.
Il n’y a de grand au Port maritime que le nom, car c’est un royaume de petits arrangements qui profitent toujours aux mêmes personnes.
Si le système perdure alors que la direction change, c’est que le fond gangrené parvient à tout contaminer telle une épidémie.
Des syndicats sans aucune crédibilité à qui on ne peut prêter que le mérite de toujours hurler là où il suffirait de parler, des managers ayant une si haute opinion d’eux même que la multiplication d’erreurs ne constituent même plus des fautes professionnelles, un CSE aux pratiques douteuses.
La liste des dysfonctionnements est longue, et nécessiterait que la Cour Régionale des Comptes s’y penche là où ledit Conseil de surveillance semble n’être qu’un simulacre de contrôle.
J’espère que ce courrier des lecteurs aura été le coup de pied dans la fourmilière et que l’argent public ne servira plus les intérêts d’une petite minorité déjà bien lotie.
www.zinfos974.com
Source : https://www.zinfos974.com/Le-port-n-a-de-grand-que-le-nom_a195032.html
Laisser un commentaire