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Miss France 2016 : Tahiti et ses îles comme lieux de préparation

Conseil des ministres. Le comité de Miss France propose que Tahiti et ses îles constitue l’écrin de cette étape de la sélection pour Miss France 2016.

Miss France 2016 : Tahiti et ses îles comme lieux de préparation
Fin février 2015, le comité du concours de beauté Miss France s’est rapproché du GIE Tahiti Tourisme et d’Air Tahiti Nui afin de leur présenter une proposition de partenariat pour l’édition “Miss France 2016”.

Le concours de beauté Miss France regroupe les 33 candidates, élues “Miss régionales”, choisies pour représenter les régions de France métropolitaine et d’outre-mer. La finale se tient au cours d’une cérémonie nationale, diffusée en direct en soirée, à une heure de grande écoute, à la télévision. Auparavant, lors des dernières éditions, dans le cadre de leur préparation pour la grande soirée d’élection, les candidates effectuent un déplacement hors de métropole.
C’est ainsi que les 33 candidates à l’élection de Miss France 2015 se sont rendues à Punta Cana, en République Dominicaine. C’est dans ce contexte que le comité de Miss France propose que Tahiti et ses îles constitue l’écrin de cette étape de la sélection pour Miss France 2016.

Outre les séances photos et vidéos réalisées en vue de l’événement, les Miss régionales enchaîneront la visite des sites remarquables et naturels de notre pays et iront également à la rencontre de la culture et de l’authenticité de la Polynésie. La Polynésie sera la destination à l’honneur du concours de l’année 2016 et ce partenariat, qui permettra de bénéficier de nombreuses expositions médiatiques, contribuera ainsi à la promotion de la destination.

Les autres décisions du conseil des ministres

Point sur le prix des hydrocarbures

Le dernier chargement de produits hydrocarbures qui a eu lieu en Corée a fait état d’une hausse de la valeur CAF de l’essence sans plomb de l’ordre du 11,13 %.

Sur ce chargement, le cours moyen du dollar américain s’est fixé à 105,805 Fcfp/US $ contre 99,90 Fcfp/US $ pour le chargement précédent, soit une hausse de 5,91%.

Les variations de valeur CAF exprimées en Fcfp associées à une appréciation notable de la devise américaine conduit à une hausse de l’essence sans plomb de 17 %, du pétrole de 12 % et du gazole de 2 %.

Le solde toujours positif du fonds de régulation du prix des hydrocarbures (FRPH) permet toutefois au gouvernement de ne pas augmenter le prix des hydrocarbures proportionnellement à la hausse constatée.

En outre, compte tenu des spécificités et des difficultés du secteur pêche, le gouvernement a acté une baisse de 5 Fcfp du gazole pêcheur vendu en gros et au détail.

Convention Socredo-Epic Vanille afin de favoriser l’installation de nouvelles ombrières

Le ministre chargé du Développement du secteur primaire, Frédéric Riveta, a présenté au conseil des ministres un projet de convention de partenariat entre la Socredo et l’Etablissement Vanille de Tahiti destinée au financement des projets d’installation de nouvelles structures d’ombrières.
C’est ainsi que la Banque Socredo proposera des dispositifs avantageux pour les futurs porteurs de projets en accordant, en particulier, un taux d’intérêt préférentiel et un différé du remboursement des échéances.

La Vanille de Tahiti bénéficie d’un programme de relance de la production depuis fin 2013 qui a commencé par la régénération de tuteurs existants complété aujourd’hui par l’attribution de ces nouvelles ombrières.

Ainsi, l’établissement prévoit d’implanter, pour 2015, 42 nouvelles ombrières soit une superficie de 2,4 hectares aux îles Sous-le-Vent et aux îles Du Vent. Ces ombrières entreront en production à partir de 2018.
Le budget total de ce plan de relance s’élève à 120 millions Fcfp, l’établissement Vanille de Tahiti intervenant à hauteur de 50% et la Socredo apportant le complément du financement.

Liste des substances actives de pesticides autorisées en Polynésie française

La liste des substances actives de pesticides autorisées en Polynésie française évolue constamment au gré des demandes des professionnels et des connaissances acquises sur l’efficacité et la dangerosité des produits.
Ainsi, lors de la réunion de la commission des pesticides du 12 février 2015, la commission a émis un avis favorable pour le retrait de l’herbicide paraquat de l’annexe 1, et pour l’ajout du fongicide mandipropamide à l’annexe 5 et de l’insecticide flupyradifurone à l’annexe 4.
Bien que très toxique, pour son faible coût et sa facilité d’utilisation, le paraquat de la famille des Pyridines-bipyridiliums sert en agriculture, floriculture et dans certains boisements à désherber ou préparer le sol. Il vise à protéger les semis contre la concurrence d’un large éventail de plantes pluriannuelles dites nuisibles ou mauvaises herbes.
Le paraquat est dangereux par sa forte toxicité aiguë par ingestion, même à faible dose : atteinte digestive caustique, avec diarrhée pouvant conduire à des risques de déshydratation en cas d’ingestion importante, atteinte rénale de type insuffisance rénale fonctionnelle. Au surplus et, notamment, dans le cas d’une intoxication par ingestion, il n’existe aucun antidote connu à ce jour.

Il a été à l’origine de controverse, notamment aux Antilles, où il tend à remplacer le chlordécone à l’origine d’une large pollution des sols et eaux superficielles dans les Caraïbes. Réautorisé en 2003 par l’Union Européenne, le paraquat a, de nouveau, été interdit en juillet 2007 compte tenu du lien soupçonné entre le paraquat et la maladie de Parkinson. Par ailleurs, associé à certains pesticides, il serait impliqué de manière significative dans les atteintes spermatiques et la fertilité.
De facto, des indices sérieux existent tendant à douter de l’innocuité de la substance. S’agissant de la santé humaine et animale, le principe de précaution s’oppose donc au maintien de cette substance sur la liste des pesticides autorisés en Polynésie française et impose à l’autorité politique de prévenir les risques potentiels en le supprimant de la liste des substances actives donc la commercialisastion est autorisée.
Hors commandes en cours, un stock d’environ 3000 litres a été recensé. Afin d’écouler ces stocks et de proposer des substituts éventuels, des délais de commercialisation de six mois et d’utilisation de 12 mois ont été accordés pour les spécialités commerciales de pesticide composées de paraquat. Le gouvernement souhaite que le secteur agricole puisse évoluer en partenariat étroit et serein avec les professionnels mais aussi les consommateurs. Il convient de rappeler que la dernière campagne d’analyse de résidus de pesticides, réalisée entre septembre et octobre 2014, montre que sur 66 produits locaux et 14 produits importés, la proportion des échantillons conformes à la réglementation polynésienne est de 97% pour l’ensemble des échantillons.

Campagne de sensibilisation à l’évaluation des risques professionnels

Le conseil des ministres a pris acte d’une communication présentée par la ministre en charge du Travail, Tea Frogier, se rapportant à la campagne de sensibilisation à l’évaluation des risques professionnels organisée par la direction du travail, en partenariat avec la Caisse de prévoyance sociale (CPS).

Cette campagne qui a débuté le 19 mars dernier, s’inscrit dans la continuité des campagnes organisées sous l’égide de la direction du travail et de la CPS au cours des dernières années.

La campagne 2015 s’articulera autour de trois thèmes : le plan de prévention, le risque chimique et la coordination en matière de sécurité et de protection de la santé sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics.

Il est attendu de ces campagnes qu’elles permettent la mise en œuvre d’une prévention efficace de façon à pouvoir éviter les conséquences éventuelles du risque professionnel, qui peuvent revêtir deux formes : l’accident du travail ou la maladie professionnelle.

Six cent trente neuf entreprises ont pu bénéficier de ces campagnes de prévention au cours des dernières années. Le nombre d’accidents de travail est passé de 2367 en 2009 à 1815 en 2013.

Officialisation des réseaux d’éducation prioritaire pour la rentrée scolaire

La ministre de l’Education, Nicole Sanquer-Fareata, a présenté en conseil des ministres un arrêté fixant la liste des réseaux d’éducation prioritaire (REP+) pour la rentrée scolaire d’août 2015.

La ministre de l’éducation nationale a souhaité accompagner le gouvernement de la Polynésie française dans sa politique d’éducation prioritaire. C’est pourquoi le Vice-recteur de la Polynésie française a apposé son visa préalable, qui officialise au plan national la mise en œuvre des trois réseaux : Faa’a, Papara et les Tuamotu.

Dans le premier degré, comme dans le second degré, aucun élève ne doit être abandonné par le système éducatif polynésien. Tous les dispositifs doivent contribuer à la mise en œuvre des actions qui permettent aux élèves de bénéficier de parcours individualisés en fonction de leurs capacités de développement.

L’instauration de réseaux d’éducation prioritaire (REP+) permet d’établir un cadre propice aux apprentissages en s’appuyant sur le travail en équipe des enseignants du premier et du second degré et sur les innovations pédagogiques. Il s’agit de mieux accompagner les élèves dans leurs parcours, particulièrement ceux qui éprouvent des difficultés. La création des réseaux d’éducation prioritaire (REP+) contribuera à l’amélioration des réussites scolaires.

Dans ces secteurs, les relations écoles/familles, partenariales seront développées au bénéfice d’une meilleure prise en charge de l’enfant et de l’adolescent.


Source : http://www.tntv.pf/Miss-France-2016-Tahiti-et-ses-iles-comme-lieux-de-preparation_a5227.html

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