Pour les frères Moussajee, l’arrêt de la cour d’appel de Paris est “truffé de vices de forme” et “d’incohérences”
Partager cet article
Depuis le 2 juillet, date de l’arrêt de la Cour d’appel de Paris relatif à l’affaire qui nous oppose à la Sogecore, les dirigeants de la Sogecore se félicitent dans les médias d’avoir “remporté le combat contre les Moussajee”.
Ils se trompent et ils trompent l’opinion publique, en tentant ainsi de redorer une image profondément ternie depuis bien longtemps.
D’abord, le dit-combat qu’affirment avoir remporté ces prédateurs momentanément triomphants est bien loin d’être achevé. Celui-ci ne représente guère qu’un épisode, autour duquel sont engagées de multiples procédure pendantes, en cours et à venir, face auxquelles le bulletin de victoire actuel peut apparaître plus qu’aléatoire.
Ensuite, ces dirigeants et leurs complices feignent d’oublier les condamnations dont ils ont été eux-mêmes l’objet antérieurement. Et là, non pour des questions de montants financiers, mais bien à propos de malversations et de tromperies déshonorantes.
Il convient également de souligner la stupéfaction des juristes et de nombre de connaisseurs des affaires judiciaires, à la lecture de l’arrêt du 2 juillet. Si ce jugement apparaît si incompréhensible aux yeux de tant d’experts avisés, c’est qu’il est truffé de vices de forme, de contradictions, d’omissions et d’incohérences. Logiquement et sans l’ombre d’une hésitation, les moyens de recours prévus sont déjà activés.
En un mot, l’affaire est bien loin d’être close et notre conviction est assurée de pouvoir en fin de compte faire éclater la vérité…
Partager cet article
Laisser un commentaire